4 Raisons de faire de la danse orientale quand on a 20 ans

"Devenir sa propre référence."
« Devenir sa propre référence. »

Vous avez envie d’être merveilleuse, d’être libre, de relever tous les défis, et de sculpter votre silhouette en profondeur ?

La danse orientale est ce qu’il vous faut !

J’ai commencé à 20 ans. La magie a si bien opéré que je me suis rapidement inscrite dans tous les cours de la ville. 😉

Mais vous n’êtes pas obligée de vous impliquer avec autant de passion pour obtenir rapidement les résultats suivants.

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Les bienfaits de la danse orientale

"Chacune s'épanouit dans cette danse."
« Chacune s’épanouit dans cette danse. »

Je ne le dirai jamais assez : la danse orientale est faite pour toutes les femmes, et toutes les femmes sont faites pour la danse orientale ! 🙂Aucune femme n’est exclue. Peu importe son âge, sa morphologie ou son caractère.

Mais qu’est-ce que cette danse apporte de spécial aux femmes ?

D’abord, la danse orientale fait rêver.

Nous avons toutes en nous « un Orient », une contrée imaginaire où nous serions à la fois nous-mêmes et une autre. L’étrange – mais accessible – gestuelle orientale nous permet d’aller dans ce pays lointain de nos rêves. Le temps d’un cours, le temps d’une danse, être cette femme à la fois magnifique et fragile.

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Ma garde-robe ne froufroute pas…

"Code d'Occident, code d'Orient : apprendre à s'amuser avec les deux !"
« Code d’Occident, code d’Orient : apprendre à s’amuser avec les deux ! »

Enroulée dans la serviette, j’ouvre les deux battants de mon armoire. Et je reste un long moment à observer, d’un côté, les vêtements qui pendent mollement aux cintres, de l’autre, les piles bien pliées endormies sur les étagères.

J’ai beau plisser les yeux, je me rends à l’évidence : la garde-robe de l’étudiante de l’an 2000 ne contient pas beaucoup de jupes froufroutantes et soyeuses…Je déterre bien ma jupe J.Crew, ultra-longue, en beau jersey de coton, achetée 3 $ à une vente de charité à New-York. Du confortable, certes, mais pas du sensuel. Et elle a un défaut rédhibitoire : elle serre la taille. Or, c’est la première chose apprise dans les vestiaires : « Ici, tu libères la taille ! ».

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