
Les halos des lampes torches semblent flotter, comme suspendus dans le noir épais. Latifa est abasourdie et immobile. Elle devine dans les ténèbres, sous la cabine de la régie, le mouvement des derniers spectateurs qui sont invités par le service de sécurité à quitter la salle. « Brusque coupure de courant. » Voilà ce à quoi nul ne pense et qui menace « le travail artistique d’une année de tant d’efforts. » Et puis….la lumière revient ! 😉