Je frappe, et la patronne ouvre la lourde porte donnant dans une réserve propre et sèche. La porte se referme sous son poids. Je note qu’elle ne se déverrouille que de l’intérieur, en enfonçant la barre qui la traverse, à mi-hauteur, dans le sens de la largeur. Immédiatement, les parfums mêlés des légumes et des fruits secs stockés sur les étagères m’entourent. Il fait bon.
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