Dans la bibliothèque de La Danse Orientale avec Sophia Sola

Il est possible que la seule différence de nature établie entre les Hommes et les Animaux soit que les seconds naissent avec la grâce, tandis que la vie humaine se caractérise par la quête infinie de sens.

Il semble que cette quête se fonde sur le raffinement de l’esprit, dont l’un des outils majeurs est le livre.

Accolés sans souci de classement, ceux dont sourcent les articles de ce blog me sont particulièrement chers. En voici quelques uns extraits des étagères de la bibliothèque :

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Monter sur scène pour mesurer le chemin parcouru

Crédit photo : TOMA Studio

Qui dit fin de saison dit gala ou spectacle de fin d’année, portes ouvertes ou rendu d’atelier.

La participation à ces différents types de représentation doit être un choix, sans incidence sur la qualité de l’attention que tu reçois durant les cours.

Avant de t’engager, il est important que tu connaisses les conditions du spectacle : dates des répétitions et des représentations, amplitude horaire de ton obligation de présence le jour J, prix du costume…

Il est également essentiel que tu te sentes sûre de tes apprentissages techniques et esthétiques.

S’il est important que tu aies la plus grande visibilité sur ton engagement, en retour, il essentiel qu’il soit ferme.

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Variation de déplacements en danse orientale

La danse occidentale, en tant que divertissement représenté sur une scène, n’est pas née ex nihilo. Il a fallu une lente évolution, depuis la danse mesurée, qui serait apparue en France au XIIIe siècle, et la renaissance italienne, qui connaît les premiers danseurs professionnels. Il semble que le maître à danser de Ludovic Sforza ait été, à l’occasion, son agent diplomatique.

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Le collier de la colombe d’Ibn Hazm, ou l’Amour en Andalousie*

* Dans cet article, le masculin est employé comme neutre.

En 711, l’armée du califat omeyyade de Damas accoste les côtes de l’Espagne. C’est l’acte de naissance d’une civilisation qui va durer jusqu’en 1492.

Vont se succéder l’émirat puis le califat de Cordoue, la fragmentation du royaume en pouvoirs indépendants appelés les « taifas », et les empires berbéro-andalous almoravides et almohades.

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