Danser de dos est l’occasion de tester l’aptitude de la danseuse à habiter ses mouvements.
Le regard matérialise la tension entre la danseuse et le public. En l’absence de l’immédiateté du regard, il faut conserver cette tension par la profondeur de la présence corporelle.
En conséquence, danser de dos n’est pas un moment de relâche, voire de disparition de ton esprit parti vagabonder dans des pensées prosaïques, du style le choix du devis de l’électricien, ou le subi enthousiasme de Jules pour les comptes en T et sa nouvelle collègue de travail qui les manie… 😉