Les photographies de la danse orientale contribuent souvent à renforcer les préjugés dévalorisants.
Satin de polyester luisant, mousseline en petit métrage chiche, vêtements qui visent à découvrir plus qu’à embellir, pailletage grossier, ceinture portée à la lisière pubienne, chevelure en mode équestre, lèvres et yeux humides, maquillage épais, autant d’éléments qui reprennent les codes de la pornographie.
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