5 points sur les cours particuliers de danse orientale

Crédit photo : inconnu

Que ton agenda ne te permette pas de participer aux cours collectifs, ou que tu aies envie de créer ta chorégraphie pour un concours, un mariage ou ton plaisir … ou encore que tu souhaites un enseignement sur mesures pour développer tes points forts et progresser sur tes points faibles, les cours particuliers de danse orientale sont pour toi.

1 / Particulier, privé et à domicile

Le cours particulier de danse orientale est un cours « sur mesures » pour répondre à tes attentes personnelles.

Cela signifie que si tu souhaites ne pas être seule, tu peux organiser un cours avec une ou deux personnes de ton choix.

Si tu souhaites que le cours se déroule en studio, le prix de la location du studio s’ajoute au prix du cours.

Quand le cours se déroule à domicile, aucun document sanitaire n’est exigible.

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Cours particuliers de danse orientale à domicile ou en studio

Crédit photo : Sophia Sola

Si ton agenda ne te permet pas de participer aux cours de danse orientale collectifs ; si tu as un projet de chorégraphie pour un concours, un anniversaire ou un mariage … ou si tu veux te faire plaisir quand tu en as le temps, les cours particuliers de danse orientale sont pour toi.

Lieu

Le cours de danse orientale peut avoir lieu à domicile ou en studio selon ton choix.

Nombre de participantes

Le cours peut être un cours individuel ou un cours entre copines jusqu’à trois participantes.

Durée

Le cours de danse orientale dure 1h30.

Nous fixons la date et l’heure en fonction des agendas de chacune.

Tu choisis également la périodicité de ton cours. Il peut s’agir d’un cours unique ou d’un cycle de cours.

Tarifs

Les cours particuliers de danse orientale sont des cours « sur mesures ». Les tarifs varient selon tes choix. Demande un devis en utilisant l’onglet Contact ou en écrivant à contact@ladanseorientale.fr

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A bientôt 🙂

Les directions sur la scène

Teatro alla Scala – C.P : inconnus

Voici un article spécialement écrit pour les Princesses, les très jeunes danseuses, avec lesquelles j’ai abordé ces notions en cours…mais cette lecture peut également être profitable aux plus grandes 😛

En studio ou sur scène, le professeur et le metteur en scène utilisent un vocabulaire spécifique pour indiquer les directions que tu dois prendre.

Que tu pratiques la danse, le théâtre ou la musique, la connaissance de ce vocabulaire te sera indispensable.

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Lettre ouverte à la presse

Je vais vous parler d’un domaine invisible dans les médias, celui de la danse en province, et plus particulièrement celui des danses autres que la danse classique, la danse contemporaine et la danse jazz.

Ces danses peuvent être enseignées dans des salles publiques mises à disposition des associations. Dans ce cas, cette mise à disposition s’identifie comme une subvention.

Mais comme ces salles sont en nombre insuffisant, les professeurs de ces danses qui veulent faire de l’enseignement leur profession, en se consacrant à des mises à niveau permanentes, en professionnalisant le niveau de leur technique,  en constituant des fonds documentaires sur leur discipline, créent leurs salles privées.

Ces salles sont de véritables « poumons » où les disciplines moins considérées que la danse classique, la danse contemporaine et la danse jazz peuvent exister.

Les charges liées à l’existence de ces salles sont financées par les abonnements des élèves, par les stages, par les soirées et par les manifestations événementielles.

Depuis le 17 mars 2020, ces quatre sources de revenus sont interdites. Je suis désolée de le dire en des termes si crus, mais la réalité est que nous sommes en train de crever.

Il est vrai qu’une société peut vivre sans que des artistes indépendants, qui atteignent l’équivalent SMIC après plusieurs années de galère consacrées à la création d’une clientèle et d’un carnet d’adresses, soient dans ses rangs. Nous ne serons plus sur la scène des galas de fin d’année, des festivals d’été, des soirées professionnelles, des mariages, des anniversaires, etc … Nous serons remplacés par des amateurs plus ou moins bons. Quant à nos élèves, il y a peu de chances qu’ils trouvent nos disciplines dans les conservatoires et dans les grandes écoles.

Notre société va se passer d’une civilisation où la pluralité des univers et des techniques oeuvrait à l’émancipation de l’esprit – et du corps – humains.

Si d’aventure je croisais une de ces personnes qui décident et qui ne font pas partie de mon monde, je ne lui demanderais pas d’indemnisation. Je lui demanderais les regards concentrés des élèves lorsqu’elles découvrent un nouvel enchaînement, la fierté des progrès, la persévérance gratuite des amateurs, les heures à penser aux costumes, le plaisir de voir vivre dans d’autres corps les chorégraphies que j’ai écrites, la surexcitation des plus jeunes à l’idée de la scène, le doute plein de désir des plus âgées qui n’en reviendront pas d’avoir osé, le raffut en sourdine des coulisses et le silence des vestiaires quand les cours sont terminés, le metteur en scène à fleur de peau et la costumière dans les temps, mais c’était moins une. Je lui demanderais Ma Vie.

« Fakir » Mai-Juin 2021. Rédacteur en chef: François Ruffin