Cours de danse orientale à La Roche sur Yon

Cours de danse orientale à La Roche sur Yon
Crédit photo : Eric Brémond Photographe

Ce que tu vas trouver dans le cours de danse orientale à La Roche sur Yon

Les cours de danse orientale à La Roche sur Yon débutent le jeudi 18 septembre 2025.

Découvre les mouvements caractéristiques et des chorégraphies inédites, l’élégance et les astuces qui font tout le charme de cette danse accessible à toutes les femmes.

Si tu es tentée par une danse sensuelle et hyper féminine qui sculpte la silhouette et renforce la confiance en soi, rejoins nous !

Les cours se déroulent dans une ambiance exclusivement féminine, rassurante, où s’allient technique, esthétique et joie de vivre.

Les cours ont lieu au studio Vibration Latina, 17, rue Jacques Coeur (Zone Acti Sud) à La Roche sur Yon.

Les portes ouvertes ont lieu le 18 et le 25 septembre 2025.

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Les directions sur la scène

Teatro alla Scala – C.P : inconnus

Voici un article spécialement écrit pour les Princesses, les très jeunes danseuses, avec lesquelles j’ai abordé ces notions en cours…mais cette lecture peut également être profitable aux plus grandes 😛

En studio ou sur scène, le professeur et le metteur en scène utilisent un vocabulaire spécifique pour indiquer les directions que tu dois prendre.

Que tu pratiques la danse, le théâtre ou la musique, la connaissance de ce vocabulaire te sera indispensable.

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Lettre ouverte à la presse

Je vais vous parler d’un domaine invisible dans les médias, celui de la danse en province, et plus particulièrement celui des danses autres que la danse classique, la danse contemporaine et la danse jazz.

Ces danses peuvent être enseignées dans des salles publiques mises à disposition des associations. Dans ce cas, cette mise à disposition s’identifie comme une subvention.

Mais comme ces salles sont en nombre insuffisant, les professeurs de ces danses qui veulent faire de l’enseignement leur profession, en se consacrant à des mises à niveau permanentes, en professionnalisant le niveau de leur technique,  en constituant des fonds documentaires sur leur discipline, créent leurs salles privées.

Ces salles sont de véritables « poumons » où les disciplines moins considérées que la danse classique, la danse contemporaine et la danse jazz peuvent exister.

Les charges liées à l’existence de ces salles sont financées par les abonnements des élèves, par les stages, par les soirées et par les manifestations événementielles.

Depuis le 17 mars 2020, ces quatre sources de revenus sont interdites. Je suis désolée de le dire en des termes si crus, mais la réalité est que nous sommes en train de crever.

Il est vrai qu’une société peut vivre sans que des artistes indépendants, qui atteignent l’équivalent SMIC après plusieurs années de galère consacrées à la création d’une clientèle et d’un carnet d’adresses, soient dans ses rangs. Nous ne serons plus sur la scène des galas de fin d’année, des festivals d’été, des soirées professionnelles, des mariages, des anniversaires, etc … Nous serons remplacés par des amateurs plus ou moins bons. Quant à nos élèves, il y a peu de chances qu’ils trouvent nos disciplines dans les conservatoires et dans les grandes écoles.

Notre société va se passer d’une civilisation où la pluralité des univers et des techniques oeuvrait à l’émancipation de l’esprit – et du corps – humains.

Si d’aventure je croisais une de ces personnes qui décident et qui ne font pas partie de mon monde, je ne lui demanderais pas d’indemnisation. Je lui demanderais les regards concentrés des élèves lorsqu’elles découvrent un nouvel enchaînement, la fierté des progrès, la persévérance gratuite des amateurs, les heures à penser aux costumes, le plaisir de voir vivre dans d’autres corps les chorégraphies que j’ai écrites, la surexcitation des plus jeunes à l’idée de la scène, le doute plein de désir des plus âgées qui n’en reviendront pas d’avoir osé, le raffut en sourdine des coulisses et le silence des vestiaires quand les cours sont terminés, le metteur en scène à fleur de peau et la costumière dans les temps, mais c’était moins une. Je lui demanderais Ma Vie.

« Fakir » Mai-Juin 2021. Rédacteur en chef: François Ruffin

Cours en vidéo : mode d’emploi

La danse est un art vivant qui se caractérise par la mise en présence d’artistes et d’un public. L’image enregistrée l’ampute généralement de plusieurs de ses éléments constitutifs que sont, entre autres, l’émotion et l’énergie. Seuls quelques rares metteurs en scène (Stanley Donen et Gene Kelly, Carlos Saura, Claude Lelouch… ) sont parvenus à la filmer sans la dénaturer. Mais souvent, la caméra n’aime pas la danse, notamment parce qu’elle peine à filmer l’égrégore qui unit le danseur et son public dans la quête du Beau et de l’Harmonie.

Cette réalité vaut également pour les cours de danse. Les intentions réunies des danseurs d’apprendre et de s’affranchir de toutes les pesanteurs sont la matière première des cours. Sans ces désirs tendus vers le même but, la technique et l’expérience du professeur sont impuissants.

C’est donc un crève-cœur pour moi d’enseigner au moyen de vidéos. Pour alléger mon dépit et mon déplaisir, je te donne ici quelques pistes pour que tu gardes à l’esprit que dans la difficulté, l’enseignement et le studio te soutiennent.

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