
L’être humain est un animal diurne qui craint l’obscurité. Aussi, la lente agonie de la lumière, qui précède le solstice d’hiver, semble l’avoir toujours inquiété.
Cependant, avant l’altération profonde de ses aptitudes par ses penchants indignes, il possédait de rudes capacités d’observation.
Le nez au ciel, il ne fut pas bien long à constater qu’à la lente décrue des jours succédait leur renaissance. Il rapprocha alors ce cycle céleste de l’angoisse fondamentale causée par le sentiment de sa mort inexorable, qui le caractérise parmi les bêtes, et de l’espoir consolateur d’une résurrection.
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