La tonicité consiste à donner un sentiment de ressort aux mouvements, sans pour autant renoncer à la finesse et à l’agilité dans l’exécution.
Continuer la lecture de « Variation tonique en danse orientale »Danse, littérature et photographie – Colette
Les « tubes » de la danse orientale*
Un corps sain soumis à une activité soutenue est rarement indolore.
La douleur est une conséquence d’un dysfonctionnement. Aussi les antalgiques, qui visent l’atténuation de la douleur, ne traitent pas la cause, mais la conséquence.
Dès lors, si tu souffres d’itératives manières, il convient de consulter un professionnel. L’engeance de Maïmonide demeure le seul secours fondé en science et en raison, même si sa fréquentation est toujours une épreuve.
Mais pour ce qui est des « faux plis » attrapés durant la nuit ou assis(e) au bureau, des raideurs dues à l’usage, et des autres courbatures qui contrarient le confort, voici mon expérience sur trois produits en vente libre.
Continuer la lecture de « Les « tubes » de la danse orientale* »Variation déliée en danse orientale
Le terme « délié » vient du latin « delicatus ». Assez peu usité de nos jours, il désigne la délicatesse et la finesse d’une partie de corps, d’un mouvement ou d’un esprit.
Il indique également l’adresse raffinée dans l’exécution.
Continuer la lecture de « Variation déliée en danse orientale »Le Prince/l’adolescent dans « Les Mille nuits et une nuit » ou l’idéal masculin au Xe siècle en Orient
En 1704 paraît en France le premier des 12 volumes des « Mille nuits et une nuit » traduites par Antoine Galland. A la vérité, ces volumes contiennent le quart des contes qui composent les Nuits.
De surcroît, il s’agit plus d’une destruction – une adaptation diront les ventres mous – que d’une traduction. La cruauté, le vocabulaire réaliste et anatomique, les vers des poètes, les situations scabreuses, et l’érotisme, aussi raffiné qu’explicite, ont totalement disparu. Demeure un texte à mettre dans toutes les mains.
Continuer la lecture de « Le Prince/l’adolescent dans « Les Mille nuits et une nuit » ou l’idéal masculin au Xe siècle en Orient »