Youpi ! Cette année, tu montes sur scène*

*Article non sponsorisé

Crédit photo : Patrice Bucher

Tu as beaucoup réfléchi et tu as arrêté ta décision : cette année tu montes sur scène. Je te félicite et je suis contente que tu aies envie de vivre cette expérience à nulle autre pareille.

Voici quelques étapes pour créer les conditions les plus favorables à ta réussite.

J-90 : je prends la main sur mon alimentation

Malheureusement, l’attention portée à notre alimentation est trop souvent vécue comme une privation alors qu’il s’agit d’une liberté.

Si les débuts paraissent souvent très frustrants, contrôler ce que nous ingérons et s’éveiller aux conséquences sur notre santé nous émancipent des habitudes nocives pour notre harmonie intime.

Le contrôle se transforme peu à peu en connaissance de soi, et donc en accroissement de confiance.

Lourdeur, fatigue, absence d’éclat, mal être sont aussi les effets d’une alimentation industrielle trop riche en aliments carnés, transformés, saturés en sucres, en graisses et en sel.

Il est intéressant de réduire tous ces apports, et de se tourner vers des menus variés où sont favorisés les céréales complètes ou semi-complètes, une diversité de légumes et de fruits de saison, et des protéines végétales.

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Concernant les apports en protéines, tous les aliments en contiennent un minimum, or l’alcool et le sucre. De surcroît, des produits apparaissent dans les rayons frais et offrent de nouvelles saveurs et de nouvelles textures. Il est important néanmoins de vérifier qu’ils ne présentent pas trop de composants – ce qui témoigne d’un haut degré de transformation – et pas trop de lipides. Les marques Happyvore, Heüra, Soy, La Vie et Wheaty proposent des alternatives plaisantes.

Il ne s’agit pas de se conformer aux canons de beauté que j’emmerde cordialement. Mais de considérer le corps comme un temple dont l’encens est la vitalité. Laquelle est fortement mis à mal par l’alimentation industrielle saturée de pesticides, d’antibiotiques et d’adjuvants chimiques.

J-60 : je prends la main sur mon costume

Il est capital que tu te sentes bien dans ton costume. Pour cela, le mieux est de l’apprivoiser bien en amont du spectacle.

Avant toute chose : la sécurité des fermetures et des fixations. Les épingles à nourrice munies d’un capuchon sont les alliées indispensables. Elles se ferment côté corps pour devenir quasiment invisibles. Pour un résultat équilibré, par exemple pour maintenir une ceinture sur une jupe, il faut en utiliser plusieurs à équidistance.

La deuxième priorité sont les sous-vêtements invisibles. Well a sorti une gamme qui propose différentes teintes en fonction de ta couleur de peau. Si tu portes un top, le délicat est le choix du soutien-gorge qui ne doit pas apparaître au niveau du décolleté. Souvent, la forme corbeille est la mieux adaptée. Les brassières peuvent réserver des mauvaises surprises si elles montent trop haut.

Si le même modèle de costume est imposé à toutes les danseuses, et que, de surcroît, il est acheté, sache que, souvent, les tailles et les coupes peuvent être peu rigoureuses. Dès lors, il faut prévoir le temps des retouches, lesquelles peuvent être conséquentes. Il est parfois difficile de reprendre un costume dont la conception est mauvaise.

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Dans l’hypothèse où le costume deux pièces est exigé et que tu te sentes mal à l’aise, il existe des bodies sous poitrine dans des teintes chairs qui couvrent l’abdomen et le buste tout en permettant le port d’un soutien-gorge. Certains sont à manches longues. Tu en trouves sur le site Oriental discount.

Si tu as une latitude dans le choix, prends le temps d’explorer plusieurs options. L’avantage dans cette situation est que les danseuses peuvent s’entraider en se prêtant des pièces, ce qui permet d’essayer plusieurs combinaisons.

Dès qu’un élément te plait, porte-le en cours et en répétition pour vérifier que ta première impression est la bonne.

L’idéal est de faire deux répétitions en costume complet.

Et pour finir, le détail qui tue : pense à enlever les étiquettes des pièces qui constituent ton costume. Y compris celles qui sont cousues sur les côtés.

J-30 : je prends la main sur mon maquillage et ma coiffure

Dans ce domaine aussi, il est important que tu te donnes le temps des essais.

Côté maquillage, la bonne idée est que les danseuses qui ont le plus de connaissances et de pratique en la matière créent des propositions qui puissent être adaptées à chacune selon son envie. C’est l’occasion d’échanger des conseils et des astuces. C’est également une opportunité d’apprendre à te mettre en valeur et de te découvrir sous un angle différent.

Côté coiffure, soit elle est imposée, soit, comme pour le maquillage, c’est un temps de création collective enrichissant.

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J-15 : je prends la main sur mon bien-être

Le jour fatidique approche. Le doute pointe son nez. Tu te demandes ce que tu es allée faire dans cette galère. C’est parfaitement naturel.

Le temps est venu de t’offrir un soin qui te plait particulièrement et que tu reportes aux calendes grecques.

Il peut s’agir d’un rendez-vous chez le podologue, d’un soin du visage ou d’un modelage…

Le seul fait de suspendre ton agenda pour lâcher prise chez un professionnel qui te prend en charge est bénéfique. Cela apaise les tensions et permet de tenir à distance ton quotidien, qui n’est pas toujours valorisant.

C’est une parenthèse avant qu’à ton tour tu donnes le meilleur de toi sur scène.

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Jour J : je prends mon pied ! 😉