D’un point de vue musical, un accent est un élément sonore séparé de la mélodie. Cet isolement le rend clairement perceptible.
Même si les instruments de percussions s’imposent immédiatement à l’esprit, il peut s’agir également d’un son assourdi ou évanescent.
En danse orientale, marquer les accents est un choix et non une obligation. Ils peuvent être l’occasion d’une pause autant que d’une démonstration de brillant.
Si la danseuse choisit de les danser, il faut qu’ils correspondent aux sons sur lesquels ils sont posés. La brutalité et l’ampleur sont à proscrire, à moins de rechercher spécifiquement ces effets.
Ils doivent être parfaitement dans le temps, ce qui demande un peu d’habitude et de sensibilité.
Pour s’entraîner, il est possible de travailler sur une musique où les temps sont clairement perceptibles, afin de pratiquer en série et de façon continue. Cela favorise l’apprentissage par la répétition d’une même suite.
Dans l’ordre apparaissent : square box envers, rétroversion du bassin, buste avant, carré d’épaules, buste arrière, cambré, alterné de hanches vertical, square box envers, rétroversion du bassin, dribble de buste, cercle de buste, dribble de buste, alterné de hanches vertical/buste avant/buste arrière, slide hanche, slide buste, alterné d’épaules, square box endroit.